À dix-sept ans, Michelle Miya décroche son entrée au Conservatoire d’art dramatique de Saint Germain-en-Laye. Elle y fait son cursus complet de sept ans aux côtés de Florence Loiret Caille et Alexis Victor, entre autres, sous la direction de Paul Lera.
Dans ses dernières années de formation, elle obtient des Premiers Prix d'Interprétation, en théâtre classique pour le rôle de Lady Macbeth dans Macbeth de Shakespeare et en théâtre moderne, pour le rôle de La Servante dans Noces de sang de Federico Garcia Lorca. Une des qualités que le jury lui reconnaît d’emblée, c’est sa capacité à incarner avec naturel les personnages qui lui sont confiés. Dès lors, elle tente le concours du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris. Elle parvient à faire rire les membres du jury avec ses répliques justes de La Servante dans L’Ile Aux esclaves de Marivaux. Mais l’Institution pas encore prête à intégrer des comédiennes noires lui ferme ses portes.
Cela n’entame pas sa détermination. Michelle poursuit sa passion et devient une des rares femmes noires à s’exprimer dans des cours de théâtre où elle est accueillie avec succès car son aisance dans les pièces de troupe ou sa présence dans des « Seule en scène » démontrent un talent évident et multiple. C’est ainsi qu’elle écrit et se met en scène dans Paquito et le chemin du souvenir et dans L’Homme de tous les mondes. Être sur scène, devant un public, c’est pour elle plus que vivifiant.
Adolescente, Michelle Miya a été interpellée par la voix off. Dès lors, elle fait un stage chez Radio France où elle apprend les codes du métier. Puis elle se perfectionne au sein de Coaching Voix Off avec des professionnels aguerris, tel Lorenzo Pancino, qui lui transmettent toutes les techniques du métier.
Sa voix médium s’adapte à une diversité de produits et peut être tour à tour européenne, africaine, jeune, posée ou enfantine ; et cela en restant toujours dans la générosité et l’efficacité, comme le constatent ses clients. De plus, elle se distingue par ses compétences en anglais, allemand, lingala et espagnol ; ce qui lui permet de prêter sa voix en France et à l’international.
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Le doublage, dans ce qu’il a de ludique, technique et créatif est comme un complément naturel à son art du jeu. Michelle Miya sait à la fois incarner une jeune femme, un moustique ou une fillette, par exemple. Elle prête sa voix avec générosité, cœur et spontanéité.
À dix-sept ans, Michelle Miya décroche son entrée au Conservatoire d’art dramatique de Saint Germain-en-Laye. Elle y fait son cursus complet de sept ans aux côtés de Florence Loiret Caille et Alexis Victor, entre autres, sous la direction de Paul Lera.
Dans ses dernières années de formation, elle obtient des Premiers Prix d'Interprétation, en théâtre classique pour le rôle de Lady Macbeth dans Macbeth de Shakespeare et en théâtre moderne, pour le rôle de La Servante dans Noces de sang de Federico Garcia Lorca. Une des qualités que le jury lui reconnaît d’emblée, c’est sa capacité à incarner avec naturel les personnages qui lui sont confiés. Dès lors, elle tente le concours du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris. Elle parvient à faire rire les membres du jury avec ses répliques justes de La Servante dans L’Ile Aux esclaves de Marivaux. Mais l’Institution pas encore prête à intégrer des comédiennes noires lui ferme ses portes.
Cela n’entame pas sa détermination. Michelle poursuit sa passion et devient une des rares femmes noires à s’exprimer dans des cours de théâtre où elle est accueillie avec succès car son aisance dans les pièces de troupe ou sa présence dans des « Seule en scène » démontrent un talent évident et multiple. C’est ainsi qu’elle écrit et se met en scène dans Paquito et le chemin du souvenir et dans L’Homme de tous les mondes. Être sur scène, devant un public, c’est pour elle plus que vivifiant.
À dix-sept ans, Michelle Miya décroche son entrée au Conservatoire d’art dramatique de Saint Germain-en-Laye. Elle y fait son cursus complet de sept ans aux côtés de Florence Loiret Caille et Alexis Victor, entre autres, sous la direction de Paul Lera.